Avec une telle réforme, les postiers ayant les plus faibles revenus seraient défavorisés, avec près de 1 % de pouvoir d’achat en moins.
Dans sa réponse suite à notre interpellation, Sylvie François, Directrice Générale Adjointe annonce : « La Poste travaille activement sur cette question avec pour ambition, notamment, que les modalités d’application de cette réforme n’entrainent pas de perte de pouvoir d’achat pour les postiers »
Une nouvelle fois, grâce à l’action de la CFDT,
le Groupe La Poste s’est engagée à ce que « les modalités
d’application de cette réforme n’entrainent pas de pertes de pouvoir d’achat
pour les postiers. ».